jeudi 30 avril 2009

New Bjork box set out this summer

Bjork is to release a 2xCD/2xDVD package of live recordings and remixes on June 23.

The box set includes footage from the Paris date of her 'Volta' tour, music videos, a live CD and an album of remixes, with the likes of Simian Mobile Disco and Matthew Herbert putting their spin on some Bjork classics.

Fans will also have the option to buy selected parts of the box set, including the live CD with the live DVD, or just the live CD. The live set is also available on its own on vinyl.

The box set tracklisting is:

DVD 1 - 'The Volta Tour Live In Paris':
'Brenniõ Piõ Vitar'
'Earth Intruders'
'Hunter'
'Immature'
'Jóga'
'The Pleasure Is All Mine'
'Vertebrae By Vertebrae'
'Where Is The Line'
'Who Is It'
'Desired Constellation'
'Army Of Me'
'Triumph Of A Heart'
'Bachelorette'
'Wanderlust'
'Hyperballad'
'Pluto'
'Declare Independence'

'Live In Reykjavik':
'Pneumonia'
'Cover Me'
My Juvenile'
Immature'
The Dull Flame Of Desire'
Vökuró'
'Sonnets'/'Unrealities xi'
'Mouth's Cradle'

DVD 2 - 'The Volta Videos':
'Earth Intruders'
'Declare Independence'
'Innocence'
'Wanderlust'
'The Dull Flame Of Desire'
'Declare Independence' (The Making Of)
'Wanderlust' (The Making Of)

'The Competition: Top Ten Runners Up (In Alphabetical Order)':
Davood Saghiri
Dimitri Stankowicz
Etienne Strube
Julien Himmer
Laurent Labouille
Mario Caporali
Mik o_o Armellino
Renato Klieger And Terracotta
Roland Matusek

CD 1 - 'Songs From The Volta Tour Performed Live At Olympic Studios'@
'Wanderlust'
'Hunter'
'The Pleasure Is All Mine'
'Innocence'
'Army Of Me'
'I Miss You'
'Earth Intruders'
'All Is Full Of Love'
'Pagan Poetry'
'Vertebrae By Vertebrae'
'Declare Independence'

CD 2 - 'The Volta Mixes':
'Earth Intruders' (Xxxchange Remix)
'Innocence' (Simian Mobile Disco Remix)
'Declare Independence' (Matthew Herbert Remix)
'Wanderlust' (Ratata Remix)
'The Dull Flame Of Desire' (Modeselektor Remix For Girls)
'Earth Intruders' (Lexx Remix)
'Innocence' (Graeme Sinden Remix)
'Declare Independence' (Ghostigital Remix)
'The Dull Flame Of Desire' (Modeselektor Remix For Boys)
'Innocence' (Alva Noto Unitxt Remodel)
'Declare Independence' (Black Pus Remix)
'Innocence' (Simian Mobile Disco Dub Remix)

Source : NME

vendredi 24 avril 2009

Vieux, décrépis, grippe-sous, les médias français ne méritent pas l’Internet


Les médias français ont raté dans leur ensemble le train du Net. Pis, les stratégies appliquées ont été catastrophiques, sclérosantes et finalement néfastes. Les marques de l’ancienne économie ont sciemment joué contre l’innovation depuis près de 10 ans.

L’omerta est la règle suivie par tous les médias français d’avant la révolution du réseau, avec toujours comme ultime justification la survie des formats anciens, seuls capables d’être réellement rémunérateurs, au détriment de tout ce qui a fait que l’Internet est une respiration, mieux un nouvel ordre. Aujourd’hui, la situation est incroyablement dangereuse sur la toile française.

La survie est devenue la règle pour les médias "Pure Players" francophones. Quelques exemples : Deezer, Dailymotion sont étranglés par les revendications des ayants droit, d’une côté, et un sous financement de l’autre. Leur existence même est engagée. Sur le front de l’information, Bakchich, Rue89, etc., voient leurs revenus publicitaires largement menacés par les effets de la crise. Sans parler des radios en ligne, qui lèvent des fonds avec une unique perspective : décrocher une hypothétique licence de radio numérique terrestre. A cela il faut ajouter la précarisation des métiers qui y sont rattachés.

Recapitalisation

Toutes ces sociétés ont le doigt sur le bouton "recapitalisation", comme s’il était devenu un réflexe indispensable sans lequel la pérennité d’une marque, d’une entreprise ou d’un média est menacée. Cela pourrait d’ailleurs être considéré comme une situation tout à fait acceptable, si en face, dans le monde non connecté, il n’y avait pas tant de conservatisme coupable.
Commençons par la vidéo. La ministre de la Culture, Christine Albanel, s’est récemment exprimée sur le manque de "circulation des oeuvres". Ce qui veut dire, pour faire court, que la diffusion des films ou des séries répond aujourd’hui à une chronologie commerciale obsolète. Pour tenter de débloquer la situation, les efforts de la puissance publique ont porté récemment sur les délais d’ouverture des fenêtres de la vidéo, et par extension de l’offre sur l’internet et en vidéo à la demande.
Il y a urgence à raccourcir au maximum les délais d’exploitation pour lutter efficacement contre l’échange illicite de fichiers, selon les professionnels. La proposition du CNC (Centre national de la cinématographie), avec l’accord de la rue de Valois, est de situer la première exploitation d’une oeuvre 4 mois après son exploitation en salle. Un pas dans la bonne direction sans aucun doute, mais il reste tant encore à faire pour déverrouiller ce système "trop français".

Tuer l’autre

Et puisqu’il faut des coupables, il faut bien le dire, les chaînes de télévision ont su parfaitement le cadenasser. TF1, France Télévisions, M6 ou encore Canal+ agissent comme de grands prédateurs sur le marché de l’audiovisuel. Et depuis l’arrivée d’internet, ils n’ont eu de cesse de condamner toutes les ouvertures pour être sûrs de ne pas voir entrer de nouveaux acteurs. Ainsi sur le marché des programmes, lorsqu’elles mènent des négociations en vue de faire des affaires avec les studios, essentiellement américains, ces chaînes cherchent toujours à rafler l’intégralité des droits disponibles. Avec, si possible, un prix de gros pour payer moins cher mais surtout éliminer la concurrence, même si les oeuvres ne sont pas exploitées par la suite. "La France est un l’exemple d’un pays où un média doit tuer l’autre pour survivre", souligne Frank Soloveicik, Directeur d’Europe Images, et président du Syndicat des entreprises de distribution de programmes audiovisuels (SEDPA). Ainsi, les chaînes refusent que la plupart des séries se retrouvent sur les plates-formes en ligne de vente, et préfèrent geler l’exploitation de films pendant 4 ans, si besoin, comme les y autorise la loi. Une réaction que Pascal Lechevallier, le directeur de TF1 Vision explique ainsi : "A la base il y a un contrat entre un studio et une chaîne. Or le studio ne peut vendre une série et la diffuser aussi sur sa plate-forme en ligne, par exemple, au nez et à la barbe de tous. Ce n’est pas une stratégie défensive de la part des chaînes. Elles doivent aussi monter des modèles rentables dans un contexte très difficile". Le patron de la plate-forme de VOD de la Une fait référence à la prolifération d’oeuvres téléchargées illégalement sur le P2P, notamment, qui représente, selon lui, un frein à l’adoption de la VOD dans les foyers. On peut aussi voir cela comme un cercle vicieux...

Hulu aux portes de l’Europe

Il faut noter aussi qu’une chaîne de télévision paye relativement cher un épisode d’une bonne série américaine. Les prix se situent aux alentours de 100 000 euros. Une somme qui est hors de portée de la plupart des nouveaux acteurs, notamment les pure-players sur le web, qui doivent alors rivaliser d’ingéniosité pour trouver d’autres contenus, moins cher mais forcément aussi moins efficaces en terme de puissance médiatique. Chez Dailymotion, comme l’explique Martin Rogard, le directeur France du portail, "nous n’avons pas signé avec les chaînes, mais avec d’autres producteurs de contenu comme Tetra media, les maisons de disques Naive, Wagram, les radios Europe 1, RTL, France Inter et dernièrement avec Le Monde. Il est aussi important de montrer que ces gens là font plus en audience que toute l’offre catch-up française réunie". D’autant, ajoute t-il, que la "monétisation d’un épisode de 52 minutes n’est pas encore possible en France, où le marché de la publicité sur Internet est bien moins mature qu’aux Etats-Unis".
On pense tout de suite à Hulu, le portail lancé par News Corp. et NBC sur le Net américain, qui a justement comme modèle unique la diffusion de contenus professionnels à forte valeur ajoutée, et entièrement payés par de la publicité. Hulu est dès aujourd’hui à la porte de l’Europe et commence à prospecter pour acquérir les droits sur les séries ou les films dans chacun des pays. Paradoxalement, le protectionnisme des chaînes françaises pourrait d’ailleurs retarder l’arrivée d’Hulu en France, comme il a aussi grandement ralenti le développement de l’offre de cinéma d’Apple sur l’iTunes video Store. Bien que depuis, Apple ait à faire face à d’autres soucis réglementaires pour lancer son offre de film.
Deezer, Dailymotion, des sites qui ont acquis une audience considérable en France et dans le reste du monde, sont aujourd’hui sous la menace de projets montés par les chaînes elles-mêmes ou d’autres sociétés de médias. Avec la crise du marché de la publicité, la survie de ces sites est directement conditionnée par la mise en place de nouvelles sources de revenus, comme l’abonnement, mais surtout par l’attitude de leurs actionnaires. Qui doivent pleinement jouer leur rôle pendant la crise et installer un modèle économique rentable. Dailymotion promet d’atteindre l’équilibre pour la fin de l’année, mais aujourd’hui, ces sites n’ont plus vraiment le vent en poupe auprès des analystes. Il est d’ailleurs surprenant de voir un groupe comme Bolloré, pour ne citer que celui-ci, qui préfère investir des millions d’euros à perte pendant des années dans des médias comme Direct8 ou les journaux gratuits, par simple réflexe conservateur voire anachronique, plutôt que de regarder du côté des entreprises réellement innovantes du Web. Et c’est loin d’être un exemple isolé.

470 millions manquants

Un dernier point mérite aussi d’être soulevé dans ce réquisitoire contre les anachronismes des médias français. Canal+, aidé par son actionnaire majoritaire Vivendi, et le nain des mobiles français Bouygues Télécom, se sont attaqués à Orange de nombreuses fois pour tenter de l’empêcher de venir sur leur domaine réservé : la télévision payante. A bien y regarder, entre France Télécom et Vivendi, le combat est des plus équilibré. Seulement, voilà, ce que l’un a le droit de faire, serait interdit pour l’autre, comme vient de le décider le verdict qui brise ainsi l’exclusivité de la commercialisation de l’offre Orange Sports sur les réseaux de l’opérateur, au motif qu’il s’agit d’une pratique s’apparentant à une vente liée. Premier problème, c’est exactement ce que veut faire Vivendi bientôt, en intégrant Canal+ dans une offre triple play, ou l’art de se tirer une balle dans le pied. Pis, une étude du cabinet NPA a évalué l’impact de la fin des exclusivités sur la filière production audiovisuelle. Sans entrer dans le détail, cette étude montre qu’à l’horizon 2011, entre un scénario optimiste et un pessimiste, l’écart pourrait atteindre plus de 470 millions d’euros. Et certainement plus, comme le note NPA : "C’est un écart à minima puisque l’effet de la perte des exclusivités aurait un impact majeur sur nombre de chaînes thématiques mais aussi sur le modèle de financement des offres payantes contribuant au financement de la production à hauteur de leur chiffre d’affaires global (incluant les revenus issus de l’offre de sport)". Il faut aussi rapprocher cela des réticences montrées depuis le début par Canal+ pour réformer la chronologie des médias, ou encore faire une place décente à la vidéo à la demande.
Au fond, ce qui fait terriblement défaut, c’est bien sûr une véritable politique au plan national pour lancer la France dans le grand bain du numérique. Et ce ne sont pas les inventions chimériques de la secrétaire d’état, Nathalie Kosciusko-Morizet, sur les antennes relais, qui vont en constituer les bases. Bien au contraire ... Comment aussi lui en vouloir, elle qui n’a jamais demandé ce portefeuille. Se pourrait-il alors que le plus grand frein soit en fait le locataire du palais de l’Elysée ? Lui qui ne fait pas mystère de son peu d’intérêt pour toutes ces histoires de tuyaux, de zéro et de un.

Source: Emmanuel TORREGANO

jeudi 23 avril 2009

C'est beau, c'est chaud !


Plutôt que de ressortir ELEGANCE, avec "vacances, j'oublie tout", voyons plutôt ce classique du string en version "bouge ton corps huilé" ;-)



Et si vous n'avez pas le moral, j'ai du lourd pour vous : une sorte de Gypsy King du Salvador enregistré par une délocalisation de France 3 l'été, en tournée des plages d'Amérique du Sud en 1982... Attention à la bouche ouverte et au filet de bave de stupéfaction...



Voilà !... MOTLEY CRUE et ça dans la même journée, c'est bon, je crois que je suis prêt ! Je peux tout faire :-)

Et après tout, puisqu'on est à fond dans le champagne, dans une sorte d'alcoolisme mondain de fin d'après-midi au soleil, lâchons-nous, mais après, c'est fini... On reprend la Volvic...


GREEN DAY | Know Your Enemy > Teaser !


Pour regarder les 40s du nouveau clip de GREEN DAY, cliquez sur "KNOW YOUR ENEMY"

C'est tout ! Sortie le 24 avril.

Sinon, vous pouvez jeter un œil sur le site d'MTV.

MOTLEY CRUE > Même pas mort !


Motley Crue are slated to make a special guest appearance on US television programme 'Bones' on May 14.


The veteran rockers will perform their hit song 'Dr Feelgood' on the season finale of the popular Fox TV forensic police show, which airs at 8pm EST/PST.

Meanwhile, Motley Crue are gearing up to embark on Crue Fest 2, which will see them performing the entire 'Dr Feelgood' album in its entirety each night. The tour kicks off in Camden, New Jersey on July 19 and concludes in Darien Lake, New York on September 5, as previously reported.

Source : nme

Un condensé des années 80 > du brushing, des motos et des filles... !






mercredi 22 avril 2009

PLACEBO | For What It's Worth

For What It's Worth


Brian MOLKO s'est donc laissé pousser les cheveux. Ça fait bizarre au début, quand on ne s'y attend pas...

Après cette analyse technique pertinente, je m'en vais, le sentiment du devoir accompli ;-)

mercredi 15 avril 2009

Lettre au CSA contre la reprise du réseau Parenthèse par Ouï FM


PARIS, 15 avr 2009 (AFP) - Le Syndicat national des réseaux radiophoniques nationaux (SRN), qui regroupe huit stations musicales, indique mercredi dans un communiqué qu'il a écrit au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) pour s'opposer à l'offre de reprise du réseau Parenthèse Radio par Ouï FM.

Selon le SRN, qui regroupe trois radios du groupe NRJ (Chérie FM, Nostalgie, Rires et Chansons), deux radios du groupe Lagardère (Virgin, RFM), deux radios du groupe RTL (Fun Radio, RTL2) et Skyrock, "la procédure usuelle de recueillir l'avis du Conseil préalablement à la décision de reprise n'a pas été respectée".

Selon le Syndicat, le montage proposé inclut une diffusion du programme Ouï FM à certaines heures sur le réseau Parenthèse Radio, ce qui reviendrait à "modifier le format de la station et induirait, de fait, un changement de la cible visée par Parenthèse Radio (parents et enfants)".

Les signataires s'inquiètent aussi d'un risque de déstabilisation du paysage radiophonique musical "dans un contexte de baisse du marché publicitaire".

Pour sa part, l'animateur Jacques Essebag (plus connu sous le nom d'Arthur), qui avait racheté Ouï FM au début de l'année, ne voit "aucun vice de procédure" dans le rachat des 14 fréquences du réseau Parenthèse Radio par Ouï FM pour 690.000 euros. L'opération a pour but de permettre à Ouï FM de s'implanter en province.

mardi 14 avril 2009

lundi 13 avril 2009

Augmenter le prix des morceaux sur l'iTunes Store n'a pas été une bonne idée.


La semaine dernière Apple a cédé à l'une des plus anciennes revendications des majors en introduisant les prix variables sur l'iTunes Store.


Si certains morceaux en mal d'affection ont vu leur prix baisser, les plus prisés sont maintenant proposés à 1,29 euros.

Le site du Billboard qui édite aux Etats Unis le classement des artistes et chansons a étudié l'impact de ces hausses sur le top 100 des ventes de la boutique en ligne d'Apple sur les premières 48h suivant la mise en place des nouveaux tarifs.

(...) Les morceaux ayant vu leur tarif passer de $0.99 à 1.29 ont pour la plupart vu leur classement et donc leurs ventes dégringoler, la moyenne étant de 5,3 places perdues. Bien entendu, les place de ce classement perdues reflètent une baisse des ventes de ces morceaux qui a été chiffrée dans un autre tableau.

(...) Il suffit d'une baisse de 20% des ventes pour faire perdre totalement l'intérêt de la hausse des tarifs, et pas mal de single sont dans ce cas ou en dessous. Ces chiffres sont d'autant plus intéressants qu'il sera difficile, pour ne pas dire impossible aux majors de les contester.

La conclusion qui s'impose est simple; les personnes désireuses d'acheter de la musique ne sont pas prêtes à le faire à n'importe quel prix n'en déplaise à certains. Bien entendu, on ignore si ces clients ont renoncé à leur achat ou s'ils ont décidé de pirater (certains sortiront forcément cette excuse), mais ceci ne change rien au fait que des ventes ont été perdues.

Il est dommage que les Majors n'aient pas tenté l'expérience inverse en proposant à $0.69 des morceaux prisés pour savoir si les ventes auraient compensé la baisse des prix ou même permis de gagner plus, mais ils n'en sont pas encore à vouloir remettre en question leurs dogmes fortement ancrés.


Article Lionel de MacBidouille.com / Source: Billboard

vendredi 10 avril 2009

YouTube s'allie à Universal pour lancer un site spécialisé de clips


WASHINGTON, 9 avr 2009 (AFP) - Le site internet de partage de vidéos YouTube a annoncé et le producteur de musique Universal Music Group ont annoncé jeudi dans un communiqué s'être alliés pour lancer un site spécialisé dans les vidéos-clips musicaux.

Ce site appelé Vevo doit permettre à YouTube, filiale du géant américain de l'internet Google, d'attirer des annonceurs et de pacifier ses relations avec le premier éditeur mondial de musique.

Universal Music Group, filiale du groupe français Vivendi, partagera en effet avec YouTube les revenus publicitaires, en apportant les contenus, alors que YouTube apporte la technologie.

Le lancement du site est prévu "cette année", sans autre précision.

"Vevo sera une plateforme de musique en ligne de premier ordre conçue pour les utilisateurs, les annonceurs et les détenteurs de contenus qui alliera le large catalogue de grands artistes d'UMG et de contenus avec la technologie de pointe dans la vidéo et la communauté d'utilisateurs de YouTube", ont expliqué les deux groupes.

Pour eux, "à son lancement, Vevo aura déjà plus de trafic que n'importe quel autre site de vidéos musicales" et "sera dans une position unique pour monétiser cette possibilité".

En effet, tout utilisateur cherchant une vidéo musicale sur YouTube sera redirigé vers ce nouveau site. Et Universal Music Group est déjà le diffuseur de contenus le plus regardé sur YouTube, avec plus de 3,5 milliards de pages visionnées.

Les clips musicaux sont parmi les vidéos les plus populaires de YouTube, un des sites les plus fréquentés du monde. Mais leur diffusion par ce biais provoque des frictions avec certains producteurs.

Warner Music Group a ainsi décidé en décembre de retirer ses chansons et ses vidéos du site à la suite de l'échec de négociations sur le renouvellement d'un accord de licence. D'autres producteurs sont en litige avec YouTube.

YouTube a attiré pour la première fois plus de 100 millions de visiteurs en janvier, selon le cabinet ComScore, mais, répugnant à introduire trop de publicité, peine à rentabiliser sa position dominante, ce qui n'incite pas tous les producteurs de musique à miser sur ce site.

mardi 7 avril 2009

Record: l'émission de radio la plus longue du monde... n'a jamais aussi bien porté son nom...


Encore un animateur qui est resté à l'antenne très longtemps, ici 169 heures...

Oui, et ?...

J'avoue que ce genre de record me navre.

C'est le degré zéro de la radio moderne qui est censé apporter du contenu, de l'émotion, des vibrations via la musique et un animateur capable de faire voyager les gens, avec juste du son et l'injection dans la tête de l'auditeur de quelques images mentales, qui le font sortir de son quotidien.

Ce genre de record est affligeant, et relève pour moi du même acabit que le concours de la + grande saucisse du monde... Et quand je lis que le mec avait droit à un contrôle médical par heure, je pense que la scénarisation du vide est à son paroxysme... Mais il est vrai que cette technique a fait la fortune de certains, fortune qui a augmenté parallèlement à leur ego destructeur d'esprit d'équipe dans les radios.

A une époque où quand on a des champions du monde dans un sport qui font 15 secondes au journal TV, on parle, on fait de la presse, on fait des T-Shirts, des mugs, on reçoit des journalistes et on fait des papiers pour une émission de beaufs pour les beaufs.

Je connais par coeur les arguments que l'on peut m'opposer, mais en tant qu'auditeur, j'ai envie de retrouver les sensations qui, un jour, m'ont donné envie d'écouter la radio, puis d'en faire.

La radio a changé, ça c'est sûr. Mais on peut faire de l'argent, beaucoup, sans tout miser sur des gens qui fournissent des best of dès le mois d'avril, ou des animateurs qui laissent crever des animaux le WE dans les bureaux, car ils les y ont "oubliés" le vendredi... C'est tellement drôle d'amener une poule pour faire le show dans un studio de radio, ou un pigeon...

Le happening à tout prix a ses limites. Enfin, visiblement, non !...

Pour ceux qui ne le savent pas encore, l'animateur qui a battu ce record de durée à l'antenne est Allemand. Comme quoi, la connerie n'a pas de frontières.