vendredi 19 mars 2010

lundi 15 mars 2010

Clip vu 11 millions de fois, le jour de sa sortie...

... avec évidemment aux fesses les ligues de vertu américaines, anglaises, Klingons, ...

La rue qui se porte le mieux dans le 8ème des médias, c'est la rue Bayard !


RTL Group : hausse du bénéfice net en 2009

Malgré la baisse de ses revenus publicitaires (en diminution de 6,3% à 5,41 Md€), le premier groupe audiovisuel européen, RTL Group (présent en France avec RTL, RTL2, M6, ou Prisma Presse) affiche une hausse de son bénéfice net en 2009.

En effet, les résultats annuels publiés vendredi soulignent que le bénéfice net de la part du groupe a augmenté de 5,7% à 205 millions d’euros. Pour répondre au ralentissement des marchés de la publicité, RTL Group a entamé "une politique volontariste de réduction des coûts" : hors charges exceptionnelles, ils ont été réduits l’an dernier de 371 M€.

A noter que cette performance de bénéfice net a été réalisée dans un contexte très compliqué pour l’ensemble des médias en Europe. Enfin, RTL Group a annoncé qu’il verserait à ses actionnaires au titre de l’année 2009 un dividende de 3,50 euros par action, identique à celui de l’année précédente.

Source : ElectronLibre

Sébastien TELLIER | Look


J'ai eu la chance d'interviewer Sébastien TELLIER aux Eurockéennes, il y a un peu + de deux ans. Un mec simple et cool, détendu dans l'interview avec des réponses claires, en étant très lucide sur lui et sur sa participation à L'Eurovision, dont tout le monde parlait à l'époque.

Voici sa dernière production clipesque d'un titre datant de 2008 sur l'album "Sexuality", avec des dessin de Mrzyk et Moriceau


vendredi 12 mars 2010

RTL2 vous offre un tour avec U2, sur 3 dates sur le continent américain !


Sans oublier les avions, les hôtels + 1 000, 00$ sur 10 jours ! Ça, c'est du cadeau !!! J'ai presque envie de jouer discrètement avec mon nom de jeune fille pour pouvoir gagner ;-)

- TORONTO - CHICAGO - MIAMI -



Un - Fucking - Believable !!!


mercredi 10 mars 2010

Une vidéo que les hommes ne doivent pas regarder... Ca fait trop mal.

En revanche, je pense que les femmes, si elles ont quelques minutes devant elles, vont plutôt apprécier la vidéo sur toute sa longueur...

;-)


The Handsome Men's Club - Watch more Funny Videos

From Lucilius , blog féminin donc...

mardi 9 mars 2010

Les Foo Fighters composent pour leur prochain disque

Les Foo Fighters rentreront en studio au mois de septembre prochain afin de donner une suite à Echoes, Silence, Patience And Grace, paru en 2007. La bande de Dave Grohl a d’ores et déjà commencé à composer plusieurs chansons, comme ils l’ont confié à la chaîne BBC 6 Music.

« Les Foo Fighters ont tout juste commencé à composer et nous allons débuter l'enregistrement en septembre. La vie est remplie de musique », a déclaré Dave Grohl.

En effet, la vie de l’ex Nirvana est bel et bien remplie de musique, puisque parallèlement à ses Foo Fighters, le multi instrumentiste reprendra cette année les fûts de sa batterie en vue d’un deuxième album de Them Crooked Vultures, super groupe en collaboration avec Josh Homme et John Paul Jones.

Source : Music Story


La même en studio :

lundi 8 mars 2010

Le nouveau clip censuré de Ben HARPER


Si ce clip est un outrage aux bonnes mœurs, je crois que nous pourrions interdire le journal de 20h... et faire interdire l'accès aux plages, l'été...

Le clip est disponible sur le site de PLAYBOY !

Inspired By Charts in France

vendredi 5 mars 2010

« Steve Jobs est insupportable. Mais avec l’iPad, il a créé l’appareil universel »

Publié sur ElectronLible le 3 mars 2010

ITW de Daniel ICHBIAH

Biographe, auteur de nombreux ouvrages sur la musique, les nouvelles technologies et le jeu vidéo, éditorialiste au mensuel SVM Mac pendant plusieurs années, Daniel Ichbiah publie une biographie express de Steve Jobs qui inaugure une nouvelle collection de petits livres didactiques vendus en kiosque faisant le tour d’un sujet en "52mn". L’occasion de faire le point sur le gourou d’Apple, sur les i de iPad et jeux vidéo. INTERVIEW…

Electron Libre : Vous qualifiez le Macintosh, l’iPod ou l’iPhone de « légendes », voire même d’« œuvres »… Ces termes ne sont-ils pas un peu forts pour des produits de consommation, des utilitaires numériques éphémères par nature, aussi brillants soient-ils ?

- Daniel Ichbiah : Si on compare le tout premier Macintosh sorti en 1984 avec les micro-ordinateurs de l’époque, le Commodore 64, le TRS-80 de Tandy…, la différence d’approche était totale. D’un côté il y avait des produits fonctionnels, comme l’IBM PC bien sûr, et de l’autre un objet conçu avec un sens de l’esthétique. Je n’arrive même pas à utiliser le mot « produit ». Quand on parle avec des programmeurs du Macintosh, on voit qu’il s’est dégagé une véritable intelligence dans la façon dont les programmes communiquaient entre eux, ou même le matériel. On peut vraiment parler d’une œuvre pour l’iPod. Il a été frappant dès le départ de remarquer qu’il s’agit là d’un objet impossible à brusquer. La molette est tellement souple qu’on se sent obligé d’être doux avec. Il a un côté zen. Depuis que le Mac peut lancer Windows, on voit des gens équipés des deux machines, PC et Macintosh. Et alors que le PC est traité comme un produit sans soin particulier, le Mac en revanche est placé dans une armoire, recouvert d’une petite laine (rires). L’iPod a créé un attachement inhabituel sur les objets de consommation. Avec Apple, Steve Jobs a réussi à créer des objets qui ressemblent à des œuvres. Pour imposer ses choix Jobs est souvent allé à contre-courant, y compris en interne. Il se bat contre les gens du marketing. Il ne réfléchit pas en produit, ou en terme de marketing ou de recherche de ce qui a marché. Il a plutôt une vision d’artiste. Jobs a eu par exemple le flair d’aller dénicher Jonathan Ive [designer responsable du look des produits Apple depuis 1996, ndr], un artiste. Quand les journalistes lui avaient demandé s’il avait fait une étude de marché au moment de lancer le Macintosh, Jobs avait répondu : « Est-ce que vous croyez que Graham Bell a fait une étude de marché avant d’inventer le téléphone ?. Est-ce que Léonard de Vinci a fait une enquête avant de peindre la Joconde ? » Les premières équipes autour du Macintosh avaient été élevées dans l’idéologie hippie des années 1970. En lançant le Macintosh ils affrontaient IBM, le Big Brother d’alors. On le voit dans le clip de lancement du Macintosh en 1984. Steve Jobs a réussi à garder cet état d’esprit, il se bat en permanence contre son conseil d’administration. Pendant son absence de chez Apple [entre 1985 et 1997, ndr], le niveau du Macintosh a baissé. C’est quand il est revenu en 1997 qu’il y a eu l’iMac, l’iPod. Il a une position extrêmement rare, pratiquement unique, il arrive à imposer un produit avec sa personnalité, simplement parce que ça lui plait.

EL : Steve Jobs apparait comme un homme peu amène ayant un caractère difficile au quotidien, presque un caractériel, pourtant il séduit à chacune de ses apparitions publiques, même hyper calibrées. Comment ces deux extrêmes peuvent-ils cohabiter ?

- DI : Pour comprendre cette personnalité il faut faire le parallèle avec d’autres personnalités, comme Bob Dylan ou Picasso, ou même James Cameron. Ce sont des types pour qui l’œuvre devient une fin en soi. Comme dans le film Les révoltés du Bounty, le capitaine est prêt à sacrifier la santé de son équipage pour ramener une plante de l’île. Jobs a un petit peu ce penchant. Tout devait être fait pour que l’iPhone sorte en juin 2007, tant pis si les employés ne dorment pas, etc. Il est insupportable en privé. Mais tout comme Bob Dylan, ou Picasso, apparemment aussi insupportables dans leur vie privée. Ses collaborateurs à l’époque de NeXT expliquent que sa première réaction devant un projet consiste à dire que c’est mauvais. Alors ils ont pris l’habitude de commencer par lui faire des propositions sans intérêt qu’il puisse rejeter avant de lui présenter le vrai projet. Il est insupportable mais en même temps, pour beaucoup de gens il s’agit de travailler avec une légende. Bill Gates que je connais aussi assez bien [Ichbiah en a retracé la saga dans un livre en 1995, ndr] a également ce côté insupportable. Il va voir ses développeurs pour discuter aimablement avec eux tout en étant capable de leur faire remarquer que ce qu’ils disent est stupide. Les gens sortent complètement anéantis d’une réunion avec Gates. Ou avec Steve Jobs.

Paranoïa

EL : Depuis quand Steve Jobs n’est-il plus vraiment accessible, qu’il évolue dans une bulle ?

- DI : Depuis son retour aux commandes en 1997 je pense. Il a donné quelques interviews mais il a développé le culte du secret devenu à la mode comme chez Google. Il a une paranoïa absolue sur les produits. Même les gens d’Apple n’osent pas discuter, ils ont l’impression qu’ils peuvent sauter pour un rien. Ce culte du secret est une arme pour beaucoup de ces sociétés. Elle entretient la paranoïa chez les concurrents.

EL : Si l’on peut comprendre la nécessité du secret industriel pour une entreprise, en quoi est-ce nécessaire que le PDG devienne lui-même l’objet du mystère ?

- DI : Steve Jobs a déjà un mode de vie très particulier, voire étrange. Il n’a pas spécialement envie de mettre le projecteur sur lui. Quand il a eu son cancer, il a voulu se soigner par une médication alimentaire. Chez lui il y a très peu de meubles. Je cite souvent Bob Dylan [et Steve Jobs aussi en illustration musicale lors de ses conférences, ndr], parce que comme lui, il n’en a vraiment rien à faire qu’on l’aime ou ou pas. C’est la marque de certains grands artistes. Bill Gates avait ça aussi, je l’ai vu envoyer promener sans regret des journalistes.

EL : Vous n’avez pas pu inclure toutes les anecdotes souhaitées dans votre mini biographie sur Steve Jobs. Quelles sont celles que vous regrettez le plus ?

- DI : Un jour, lors d’un Apple Expo, Jobs arrive devant le stand Sony où il voit un lecteur MP3 en vente et il demande à ce que le produit soit immédiatement retiré de l’étalage. Il s’agit de Sony quand même (rires) ! C’est assez révélateur de son état d’esprit.

EL : Suite au gigantesque succès de l’iPod puis de l’iPhone, la cagnotte d’Apple commence à se rapprocher de celle de Microsoft. Steve Jobs peut-il succéder à Bill Gates à la position d’homme le plus riche du monde ?

- DI : Je ne pense pas. Les revenus de Microsoft sont alimentés par d’autres sociétés qui travaillent pour elle. Dell, Hewlett Packard, Asus, etc, vendent Windows et versent des royalties. Microsoft a un revenu automatique. C’est une théorie que je développe dans mon livre sur Google (Comment Google mangera le monde, 2007, ndr). Beaucoup de sociétés rêvent d’un revenu automatique. Les millions de PC vendus avec Windows rapportent automatiquement des milliards de dollars chaque année à Microsoft. En 1995 Apple avait commencé à autoriser la commercialisation de clones du Macintosh et vendait Mac OS X à des sociétés tierces. Mais Jobs a complètement fermé le marché des clones dès son retour chez Apple en 97. S’ils avaient continué les clones, Apple aurait sans doute pu se générer des "revenus automatiques".

Disparition de l’ordinateur


EL : Lors de la présentation de l’iPad, Steve Jobs a déclaré qu’Apple était désormais une entreprise faisant des produits mobiles. Ce basculement n’a sans doute pas été prémédité mais semble désormais assumé. Quel avenir pour les gammes d’ordinateurs de bureau ?

- DI : Apple conçoit encore des produits comme le Mac Mini qui sont bien pratiques. Mais la taille des ordinateurs se réduit, leur mobilité s’accroit. La mobilité touche toutes les sociétés, autant Dell, HP qu’Apple. Je pense que Jobs doit apprécier les objets mobiles parce qu’il est peu attaché aux objets en tant qu’objet. Chez lui c’est assez dépouillé. J’imagine que l’iPad est un produit qui lui ressemble bien, assez proche de sa philosophie. La réduction de taille des ordinateurs est une mutation où l’objet physique perd son importance. Peut-être même qu’un jour il n’y aura plus besoin d’un ordinateur chez soi. Je pense que tôt ou tard tous les ordinateurs pourront devenir interchangeables.

EL : Assez typiquement, le projet iPad semble avoir convaincu les fidèles de la marque et laissé sceptiques les autres. Quel type de succès imaginez-vous pour l’iPad et, notamment, quelle utilisation pourrait devenir la plus populaire selon-vous ? Le jeu vidéo, les livres, la presse, internet tout simplement ?

- DI : J’ai plutôt vu des enquêtes où 80 % des internautes étaient prêts à en acheter un ! Je suis assez étonné des réactions anti iPad. Je pense que c’est un objet d’une intelligence incroyable. L’iPad fait d’une pierre trois coups. Il prend le marché devenu important de l’Asus PC, il prend le marché des livres électroniques comme le Kindle d’Amazon, et c’est aussi un pavé énorme dans la marre de la console DS de Nintendo. Comme vous le savez, la DS est la console la plus vendue de tous les temps. Or, là, Apple offre un système de jeux tactiles avec un écran beaucoup plus vaste. Et quand on voit le catalogue de jeux de l’iPod Touch/iPhone qui seront forcément réadaptés à l’iPad… Je pense que Jobs a fait l’appareil universel. Tous les usages vont s’y croiser. Le livre électronique va se développer très vite. Pour beaucoup d’adultes ce sera un usage plus bureautique, l’usage de consultation du web et du mail, etc. Difficile de dire quel usage va s’imposer le plus. Les trois catégories d’utilisateurs vont se cumuler. Il est quand même possible que l’iPad devienne la console portable n°1. Nintendo va devoir se mettre à niveau, au-delà de sa DSi XL avec ses écrans légèrement plus grands.

EL : Vous avez récemment publié la 4e version augmentée de votre Saga des Jeux vidéo [publiée la première fois en 1997 sous le titre plus poétique : Bâtisseurs de rêves, ndr]. En quelques mots, que pensez-vous de l’évolution du jeu vidéo ? Progresse-t-il comme on aurait pu s’y attendre ou avance-t-il encore et toujours en terra incognita ?

- DI : Vaste question. Le marché est devenu beaucoup plus prévisible que dans les années 1980-90. Depuis une dizaine d’années on ne voit plus tellement apparaître de nouveaux types de jeux. L’industrie fonctionne par séries désormais. Chaque année on attend le jeu de football ou de courses automobiles accompagnés d’une technique encore plus précise. Les adaptations de films sortent presque systématiquement... Le jeu vidéo est devenu beaucoup plus prévisible et moins aventureux qu’à l’époque où naissaient les Sim City, les Doom… Il y a encore des accidents comme Les Lapins Crétins qui étaient des minis jeux dans un jeu Rayman lancés très vite pour accompagner la Wii et qui ont fait un triomphe au point de devenir des jeux à part entière. Le projet Natal sera peut-être intéressant. Mais un jeu ce n’est pas seulement son interface, souris, manette, Wiimote, ou son corps. Il faut un contenu et c’est peut-être pour ça que la Wii arrive un peu au bout. Ce n’est pas l’interface qui fait le jeu c’est le jeu qui fait le jeu. Je ne sais pas comment cela va évoluer dans les prochaines années mais je crois que les lieux de jeux vont se développer dans la maison. La technologie va permettre d’avoir l’impression de s’immerger dans un décor à 360°, de se battre avec des aliens ou de se balader dans la jungle chez soi. On pourrait très bien avoir une pièce entière, un cube, ou une sphère dans laquelle se déplacer. Peut-être à l’horizon 20-30 ans…

mardi 2 mars 2010

RIHANNA Live @ AOL Session...


AOL qui voulait faire de l'artistique avec 25 directeurs financiers par étage et qui a donc logiquement fermé ses portes à Paris, après avoir voulu donner des leçons à la terre entière... 

Comme quoi, il ne suffit pas de savoir faire un business plan pour que la réussite soit au rendez-vous. Le business plan est un élément du projet, pas L'Elément premium du projet... (private joke)

Mais bravo pour ces sessions live, qui sont de vrais bon moments de musique.

Je dois avouer qu'ici, ça tape un peu, "avec de vrais instruments", comme dirait Naguy...

Le "new R'n'B" - appelons-le comme comme ça pour ne pas faire honte aux black de la Motown qui se retrouveraient dans la même catégories que certains et certaines -  me donne des envies peu avouables avec toutes ces miauleuses qui braillent à 15 000 Hertz pour rien. Mais bon, certains s'en sont chargé à ma place... (humour noir, j'en conviens)

Cette version de Rude Boy en live tape bien, malgré le visage de RIHANNA aussi joyeux que le jeu de scène de Michel SARDOU ;-)

C'est vrai aussi que RUDE BOY, c'est pas non plus  "Le Zizi" de Pierre PERRET... ;-)

Inspired by TC